Can't Bear This Party + Brightest Outlook au Shaka Laka (59)
Direction le Shaka laka de Hazebrouck. Le temps de se ramener, de manger, et bien c’est tout simplement le premier groupe, The Brightest Outlook, que l’on ratera. Vu la réaction des gens, c’était cool, donc dommage. Mais on est quand même super content de revenir dans cet endroit. Le Shaka est vraiment un endroit cool, le bar est très beau, avec le balcon qui surplombe la toute petite scène.
Une fois la bouffe finie, on se dirige vers la scène sauf que… c’est tout simplement inaccessible. Le bar est blindé, encore plus rempli que pour la date de la tournée de merde que l’on avait suivie ici. On monte à l’étage mais là même constat. Le balcon est envahi, et alors que le groupe entame sa troisième chanson du soir, on se décide quand même à descendre pour se frayer un chemin parmi la foule et se mettre tout au fond à côté du groupe. On est bien compressé, et il fait chaud. Pas au point de la date citée précédemment, mais bon quand même. Côté musique, pour ceux qui ne le sauraient pas, Can’t Bear This Party à la particularité de posséder du synthé dans ses compos. Ce qui donne un petit côté jeu vidéo. Le groupe est composé de membres de Freygolo, Chasing Paperboy…
Ils se donnent à fond, tout comme le public qui répond bien. Public composé pour la plupart de « mécheux », et aussi un peu plus jeune que d’habitude. Les gens doivent même se tenir pour ne pas renverses les synthé, ce qui arrivera quand même quelques fois pendant le set. Set d’une grande intensité, le groupe montre vraiment une grosse énergie, et des titres comme « So quarrelsome », « City’s so sad », ou « Talk to the phone tone » font mouche. Coup de cœur pour le titre « Sinking ship », pour moi le meilleur morceau du groupe. C’est vraiment un excellent concert, les deux chanteurs donnent de la voix, remuent, et essaye de maintenir leurs synthé comme ils peuvent. Les autres musiciens ne sont pas en reste, malgré le fait qu’ils soient pas mal serrés.
Le set se termine dans la sueur, le sourire jusqu’aux oreilles. Un set vraiment génial, grosse ambiance, quoique mouvementé pour les quelques photographes présent devant le groupe, comme pour notre amie Cartatoto. Malmenée, du mangeage de synthé au programme, mais mission accomplie. Si tous les concerts de Can’t Bear se passent comme ça, je ne donne pas cher de la durée de vie de leurs instruments.
Aurel
Une fois la bouffe finie, on se dirige vers la scène sauf que… c’est tout simplement inaccessible. Le bar est blindé, encore plus rempli que pour la date de la tournée de merde que l’on avait suivie ici. On monte à l’étage mais là même constat. Le balcon est envahi, et alors que le groupe entame sa troisième chanson du soir, on se décide quand même à descendre pour se frayer un chemin parmi la foule et se mettre tout au fond à côté du groupe. On est bien compressé, et il fait chaud. Pas au point de la date citée précédemment, mais bon quand même. Côté musique, pour ceux qui ne le sauraient pas, Can’t Bear This Party à la particularité de posséder du synthé dans ses compos. Ce qui donne un petit côté jeu vidéo. Le groupe est composé de membres de Freygolo, Chasing Paperboy…
Ils se donnent à fond, tout comme le public qui répond bien. Public composé pour la plupart de « mécheux », et aussi un peu plus jeune que d’habitude. Les gens doivent même se tenir pour ne pas renverses les synthé, ce qui arrivera quand même quelques fois pendant le set. Set d’une grande intensité, le groupe montre vraiment une grosse énergie, et des titres comme « So quarrelsome », « City’s so sad », ou « Talk to the phone tone » font mouche. Coup de cœur pour le titre « Sinking ship », pour moi le meilleur morceau du groupe. C’est vraiment un excellent concert, les deux chanteurs donnent de la voix, remuent, et essaye de maintenir leurs synthé comme ils peuvent. Les autres musiciens ne sont pas en reste, malgré le fait qu’ils soient pas mal serrés.
Le set se termine dans la sueur, le sourire jusqu’aux oreilles. Un set vraiment génial, grosse ambiance, quoique mouvementé pour les quelques photographes présent devant le groupe, comme pour notre amie Cartatoto. Malmenée, du mangeage de synthé au programme, mais mission accomplie. Si tous les concerts de Can’t Bear se passent comme ça, je ne donne pas cher de la durée de vie de leurs instruments.
Aurel