Tim Vantol + Laura Stevenson + Flow + Pat's au Brin de zinc (73)
Ce soir, ce sont les guitares acoustiques qui sont de la partie. Une bien belle affiche pour le Brin de zinc' (et oui encore). Pat‘s, Flow, Laura Stevenson et Tim Vantol.
On retrouve beaucoup de copains ce soir, on discute un peu avec Flow à propos de son futur album, de la date au Shaka laka le 20 Juillet lors de la Tournée de merde de Black Sheep et Justin(e), et de bien d'autres choses. Comme d'habitude, il y a une vraie bonne ambiance ici.
On rentre donc dans le bar, voyant que Pat’s commence son set. Lui qui est le roadie des Nichiel's, ce que j'ai sûrement déjà dit, mais quelques rappels ne font jamais de mal, le voilà donc ce soir tout seul sur scène avec sa guitare. Et au rendez vous, compos et reprises de... Nichiel's bien sûr.
D'ailleurs ça commence tout de suite avec « Travail et suicide », qui pour moi est le meilleur titre du groupe Chambérien. Les reprises ont été bien retravaillées, ça sonne vraiment très bien, et le public apprécie. Petit oubli de parole pour « Chacun de notre côté », mais sans grande importance, ça reprend vite. Les compos sont elles aussi très réussies, des mélodies sympatoches (hahaha...), avec la bonne voix de notre ami Pat's calée par dessus. Un petit duo pour finir avec « Tonton » et une superbe compo avec de l'armonica, très classe. Il me semble que c’est le premier concert en solo pour le gaillard, et il s’en tire plus que bien.
C'est au tour de Flow de monter sur scène. Et il est venu accompagné de Ponar, son petit poney. Le concert commence donc et la voix bien reconnaissable du petit gars du Nord résonne dans le bar. On a le droit a la géniale « Travail sur l'égocentrisme », ainsi que « 2012 », l'étrange histoire de Maya l'abeille qui aurait perdu son calendrier et du coup le monde est dans la merde, quelque chose comme ça. Enfin bref. Ça fais vraiment plaisir de le voir ici à Barberaz, lui qui est plutôt habitué à jouer uniquement dans le Nord. C'est donc un concert très plaisant, tout le monde à l'air d'apprécier, et c'est bien l'essentiel. Le set se termine et j'en aurais bien demandé encore un peu, tellement je suis devenu fan de ce mec là. Et je suis sur que cette info change radicalement votre vie.
Arrive maintenant Laura Stevenson. J'avais quelque peu écouté avant de venir, sans avoir réellement le temps d'y faire excessivement attention. Et bien là c'est la claque. Accompagnée de son guitariste, elle vous transporte littéralement avec ses mélodies simples mais sublimes. Les deux guitares sont parfaitement complémentaires, et c'est très agréable à écouter. Cette fille a vraiment une voix sublime et on voudrait bien que le concert dure toute la nuit. Elle prend aussi le temps de parler un peu entre les chansons aux différentes personnes présentes ce soir, en anglais mais aussi dans un français un peu approximatif, mais c'est déjà plus que pas mal. Très bonne ambiance, le set est reposant et on peut le dire, splendide. On est bien déçu de la voir déjà finir la dernière chanson, tant ce moment est passé vite. Mais que ce fut bon.
La frustration est ensuite laissée de côté, puisque c'est Tim Vantol qui monte sur scène pour clôturer la soirée. Autant les gens était assises pendant le concert de Laura, autant là, beaucoup de personnes sont debout, proches de la scène. Le bonhomme commence à jouer, et retentit déjà la superbe « Road sweet road », ainsi que la non moins bonne « Caged birds », qui je trouve est la meilleure de l'album. Dans un style bien différent que la voix de Laura Stevenson, la voix de Tim, très rauque, nous emporte tout autant. Flow, dans le public, chante à tue-tête sur pratiquement toutes les chansons. Il n'est d'ailleurs pas le seul, puisque le public reprend également en choeur. On passe de « Nothing » à « For wheels and a sixstring », et à toutes les autres, avec le même plaisir inconditionnel. Il est malheureusement déjà l'heure, Tim remercie tout le monde et pose sa guitare.
Et nous on peut repartir le sourire aux lèvres, avec encore un excellent moment passé ici, une bonne ambiance, et l'envie de revoir tout ce beau monde très vite à un nouveau concert.
Aurel
On retrouve beaucoup de copains ce soir, on discute un peu avec Flow à propos de son futur album, de la date au Shaka laka le 20 Juillet lors de la Tournée de merde de Black Sheep et Justin(e), et de bien d'autres choses. Comme d'habitude, il y a une vraie bonne ambiance ici.
On rentre donc dans le bar, voyant que Pat’s commence son set. Lui qui est le roadie des Nichiel's, ce que j'ai sûrement déjà dit, mais quelques rappels ne font jamais de mal, le voilà donc ce soir tout seul sur scène avec sa guitare. Et au rendez vous, compos et reprises de... Nichiel's bien sûr.
D'ailleurs ça commence tout de suite avec « Travail et suicide », qui pour moi est le meilleur titre du groupe Chambérien. Les reprises ont été bien retravaillées, ça sonne vraiment très bien, et le public apprécie. Petit oubli de parole pour « Chacun de notre côté », mais sans grande importance, ça reprend vite. Les compos sont elles aussi très réussies, des mélodies sympatoches (hahaha...), avec la bonne voix de notre ami Pat's calée par dessus. Un petit duo pour finir avec « Tonton » et une superbe compo avec de l'armonica, très classe. Il me semble que c’est le premier concert en solo pour le gaillard, et il s’en tire plus que bien.
C'est au tour de Flow de monter sur scène. Et il est venu accompagné de Ponar, son petit poney. Le concert commence donc et la voix bien reconnaissable du petit gars du Nord résonne dans le bar. On a le droit a la géniale « Travail sur l'égocentrisme », ainsi que « 2012 », l'étrange histoire de Maya l'abeille qui aurait perdu son calendrier et du coup le monde est dans la merde, quelque chose comme ça. Enfin bref. Ça fais vraiment plaisir de le voir ici à Barberaz, lui qui est plutôt habitué à jouer uniquement dans le Nord. C'est donc un concert très plaisant, tout le monde à l'air d'apprécier, et c'est bien l'essentiel. Le set se termine et j'en aurais bien demandé encore un peu, tellement je suis devenu fan de ce mec là. Et je suis sur que cette info change radicalement votre vie.
Arrive maintenant Laura Stevenson. J'avais quelque peu écouté avant de venir, sans avoir réellement le temps d'y faire excessivement attention. Et bien là c'est la claque. Accompagnée de son guitariste, elle vous transporte littéralement avec ses mélodies simples mais sublimes. Les deux guitares sont parfaitement complémentaires, et c'est très agréable à écouter. Cette fille a vraiment une voix sublime et on voudrait bien que le concert dure toute la nuit. Elle prend aussi le temps de parler un peu entre les chansons aux différentes personnes présentes ce soir, en anglais mais aussi dans un français un peu approximatif, mais c'est déjà plus que pas mal. Très bonne ambiance, le set est reposant et on peut le dire, splendide. On est bien déçu de la voir déjà finir la dernière chanson, tant ce moment est passé vite. Mais que ce fut bon.
La frustration est ensuite laissée de côté, puisque c'est Tim Vantol qui monte sur scène pour clôturer la soirée. Autant les gens était assises pendant le concert de Laura, autant là, beaucoup de personnes sont debout, proches de la scène. Le bonhomme commence à jouer, et retentit déjà la superbe « Road sweet road », ainsi que la non moins bonne « Caged birds », qui je trouve est la meilleure de l'album. Dans un style bien différent que la voix de Laura Stevenson, la voix de Tim, très rauque, nous emporte tout autant. Flow, dans le public, chante à tue-tête sur pratiquement toutes les chansons. Il n'est d'ailleurs pas le seul, puisque le public reprend également en choeur. On passe de « Nothing » à « For wheels and a sixstring », et à toutes les autres, avec le même plaisir inconditionnel. Il est malheureusement déjà l'heure, Tim remercie tout le monde et pose sa guitare.
Et nous on peut repartir le sourire aux lèvres, avec encore un excellent moment passé ici, une bonne ambiance, et l'envie de revoir tout ce beau monde très vite à un nouveau concert.
Aurel